🛑 Hier soir, Elon Musk, le patron de X, a ruiné la carrière de JLO si rapidement que les gens n’ont même pas eu le temps de comprendre ce qui s’est passé
Dans un monde où les milliardaires peuvent tweeter pour déclencher des guerres mondiales et où les mèmes ont plus de pouvoir que les politiques, les événements d’hier soir ont marqué un nouveau record en matière de dénonciation de célébrités. Elon Musk, autoproclamé sauveur de l’humanité et humoriste occasionnel sur Twitter, a réussi d’une manière ou d’une autre à faire dérailler la carrière de Jennifer Lopez en un temps record. Clignez des yeux et vous l’auriez manqué.
Le drame s’est déroulé sur X, autrefois connu sous le nom de Twitter (parce qu’Elon Musk a décidé un jour que la lettre X méritait plus d’attention). JLO, la superstar mondiale et diva certifiée, venait de publier une vidéo de célébration annonçant son nouveau single. Tout était étincelant, avec des mouvements de danse et cette confiance caractéristique de JLO. Mais ensuite, tel un faucheur cybernétique, Elon Musk est apparu dans la section des commentaires avec une réponse simple mais dévastatrice : « Mid ».
Oui, un mot. Trois lettres. Le même nombre de mariages que JLO a célébrés. Et pourtant, cette critique monosyllabique de la part d’un homme dont la plus grande réussite artistique consiste à concevoir une voiture qui semble sortir d’un jeu vidéo semble avoir un poids apocalyptique. En quelques minutes, le hashtag #JLOIsOverParty est devenu tendance, propulsé par les fidèles followers d’Elon Musk, un groupe connu pour vénérer chacun de ses tweets comme s’il s’agissait des Dix Commandements.
Ce qui a suivi a été un véritable chaos. Les chiffres de streaming de la nouvelle chanson de JLO ont chuté alors que les fans d’Elon Musk ont envahi toutes les plateformes avec des mèmes « Mid ». Les critiques qui avaient salué son morceau quelques heures plus tôt ont soudainement fait volte-face, le comparant à de la musique d’ascenseur et suggérant à la chanteuse de prendre sa retraite. Même Netflix, qui faisait la promotion de son prochain documentaire, a discrètement supprimé ses publications. C’était comme si Internet avait décidé collectivement que les décennies de talent et de réussites de JLO pouvaient être effacées par les caprices d’un homme et de son clavier.
Naturellement, Elon Musk n’a pas pu résister à l’envie de redoubler d’efforts. Il a suivi son commentaire initial avec un autre message : « Elle est toujours Jenny du quartier, mais le quartier a été gentrifié. » Comme si cela ne suffisait pas, il a ensuite sondé ses abonnés pour savoir si JLO devrait faire une « longue pause dans la musique » ou « se réinventer en tant qu’influenceuse NFT ». Le sondage a recueilli plus de deux millions de votes en moins d’une heure, « l’influenceuse NFT » prenant la tête.
La réponse de JLO ? Un silence assourdissant. Des sources proches de la chanteuse ont rapporté qu’elle était « choquée » et « évaluait ses prochaines étapes », ce qui, espérons-le, n’implique pas le lancement d’un album de salsa aux couleurs de Tesla. Pendant ce temps, Elon Musk célébrait sa dernière conquête sur Internet en tweetant une photo de lui portant des lunettes de soleil avec la légende « Toujours pas de boutons d’édition ».
Ce n’est pas la première fois qu’Elon Musk utilise sa présence sur les réseaux sociaux comme une arme contre des célébrités. Vous vous souvenez de son débat public avec Taylor Swift sur l’empreinte carbone, ou de la fois où il a suggéré à Tom Cruise de réaliser ses propres cascades sur Mars ? Pourtant, d’une certaine manière, la dénonciation de JLO semble particulièrement impitoyable. Peut-être est-ce parce qu’elle est l’une des dernières icônes de l’ère pré-Elon Musk, une époque où le talent, et non les magnats de la technologie, régnait sur le monde.
JLO va-t-elle s’en remettre ? Probablement. Elle a déjà dû faire face à des situations pires, comme des critiques négatives sur ses films ou des ruptures avec Bennifer. Mais pour l’instant, elle est un exemple édifiant, un rappel que dans le monde d’Elon Musk, personne n’est en sécurité. Pas même une légende vivante.